Par Anabelle Rajotte –
Pour certains, ce voyage sera le premier, pour d’autres ce sera une nouvelle expérience unique à ajouter à leurs listes.
Une chose est sûre, nous sommes tous fébriles à l’idée de partir. Nous comptons les jours avant le grand départ comme un enfant compte les jours avant Noël. J’adore l’idée de nous voir partir, vendredi le 10 Octobre, pour l’aéroport. Juste à l’idée d’y penser, je ressens déjà l’excitation. Puisque le voyage est principalement axé sur le Design et l’art, nous avons bien hâte de découvrir les compagnies outre-mer. Nous vivons clairement dans deux mondes différents, mais nous partageons une passion commune, il me semble intéressant de voir comment le Multimédia est traité là-bas. Il en est de même pour l’art. Mise à part tout cela, je crois que nous avons tous très hâte de visiter nous-même le centre-ville de Barcelone, la plage et les parcs à proximité de notre Auberge Jeunesse.
Ce fût en effet le cas. Nous devions nous retrouver à l’aéroport pour 19h30. Tous étaient prêts et à l’heure. Par la suite, vers 20h30, nous avons passé les douanes, c’est par la suite que le fun a commencé. Nous y étions presque. Ils nous ont fait embarquer aux alentours de 22h00, puis par la suite nous avons décollé. La sensation d’un avion qui amorce son envolée, était unique. Par la suite, nous nous entendons tous pour dire que le trajet fut assez long et pénible. Dès notre arrivée sur le territoire espagnol, on pouvait ressentir l’excitation du groupe. Tous avaient très hâte de sortir de l’aéroport pour enfin débuter l’expérience. Nous sommes donc allés récupérer nos cartes de transport, puis nous avons pris l’aérobus en direction de la Plaça de Catalunya. Ensuite, nous avons marché environ 5-10 minutes, jusqu’à l’Auberge Itaca. Nous nous sommes tous bien installé, puis nous sommes partis à la recherche d’un restaurant pour calmer notre faim. Après un certain temps, nous avons finalement trouvé un restaurant qui plaisait à tous et à moindre coût.(Yeah !!) Nous sommes tous revenus à l’Auberge par la suite puisque nous étions tous épuisés de tout ce trajet sans sommeil.
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